À fleurs de Peau (AFP) - Le Lion Z'Ailé V
La Vénus de la vallée mosane (VVM-1)
Foire du Livre de Bruxelles 2024
Foire du Livre de Bruxelles 2024
Salon du livre de Wavre 2024
Foire du Livre de Bruxelles 2023 - Véronique Adam
Champagne et toasts
Librairie des Saules
Journée du livre ouvert
Librairie des Saules avec Jean-Luc Demeur
Salon des litératures singulières
Vénus de Kostienki
Conférence à Lasne
Le Mosan
Rhinocéros laineux
Grotte de Spy
Les Néanderthaliens
Enregistrements - Un livre belge pour l'été
Avec Thierry Vangukick
Made in Belgium
Les phases de la lune
La Vénus de la vallée mosane (VVM-2)
Champagne
Foire du Livre de Bruxelles 2023 - Brabant Wallon
Foire du Livre de Bruxelles 2023 - Stand CLéA
Scolarisation des femmes
Jour du livre ouvert
Journée intercontinentale de la Vénus
Journée de la lecture à la plage
Journée internationale de la Vénus
Librairie des Saules
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Avec Manuel Verlange
Rhinocéros laineux
Grotte de Spy
Grotte de Spy
Grotte de Spy
Grotte de Spy
Librairie des Saules
Livres belges
Foire du Livre de Bruxelles
Rhinocéros laineux
La fin des haricots (FDH)
Couverture
Quatrième de couverture
Pochette
Salons du livre de 2018 à 2022
Bruxelles
Court métrage
Bruxelles
Samedi 27 - Stand 27
Wallonia Conference Center Mons
Salon du Livre de Wallonie 2021
Jodoigne 2021
Jodoigne
Villers-la-Ville
Aix-les-Bains 2019
Mons 2019
Mons 2019
Salon des écrivains - Braine-le-Comte 2019
Salon des écrivains - Braine-le-Comte 2019
Braine-l'Alleud 2019
Jumet 2019
Maison Camille Lemonnier 2019
La Rochelle 2019
Braine-l'Alleud 2019
Stand 411
Dédicaces Une Vie de Garçon
Présentation par Martine Rouhart
Marchienne-au-Pont 2018
Une Vie de Garçon - sortie officielle
Salon du livre - Mons 2018
Sortie d'Une Vie de Garçon à Pont-à-Celles
Pont-à-Celles 2018
Salon des écrivains - Braine-le-Comte 2018
Salon de Sougné-Remouchamps 2018
Foire du livre de Bruxelles
ELLEs se LIVREnt 2018
Une Vie de Garçon (UVG)
Par Maud Marcon et Laurine Liétard
Couverture
Dos de couverture
Avec "La solitude des étoiles" de Martine Rouhart.
Avec "Liens de sang" de Thierry Chassard.
Avec "Sur les traces d'un amour inoubliable" de Jean-François Foulon.
Avec "Recto Verso" de Bou Bounoider.
Avec "Pile et Face" de Patricia Fontaine.
Avec "Le chien qui souriait en repensant à sa vie" de Lorenzo Morello.
Avec "Jeu Cruel" de Délicia Pioggia.
Avec "Contre vents et marées" de Marie-Isabelle Tasset et "Les choix de Céline" de Valéry Hardiquest.
Avec "Kidnapping" de Geoffrey Claustriaux.
Écho du Hain N°288 - 29 novembre 2018
Proximag - Février 2019
Éditions Poussière de Lune
UVG, de l'écriture au livre
Par Maud Marcon et Laurine Liétard
Quand le chat veille sur le manuscrit
Envoi aux éditeurs
Avec les Éditions Poussière de Lune (Nathalie Marcon)
Par Laurine Liétard
Par Jean-Jacques Procureur
Modèles d'Une Vie de Garçon
Comme le peintre, l'écrivain éprouve parfois le besoin d'observer un modèle pour décrire une situation ou illustrer son histoire. Voici les quelques modèles ayant inspiré Une Vie de Garçon.
À cet instant magnifique, Pierre Lestage dropait les trois points de la victoire, offrant à Mont-de-Marsan son seul titre de champion de France de toute l’histoire du rugby.
Lui, était en ce moment au stade Lescure de Bordeaux, à plus de deux heures en voiture de notre fermette du Pays d’Albret. Avec ses copains vêtus de maillots à rayures jaunes et noires, il dansait sous la pluie chaude d’une fin d’après-midi fantastique : son équipe était championne.
Depuis quelques jours, la canicule frappait la butte de Couyrasse et les quelques bâtisses semblaient se dissoudre dans la touffeur de juin. Le chemin qui menait chez nous longeait un champ en pente vers Moncrabeau. Au bout de deux cents mètres, on bifurquait à gauche, dans la propriété. Par la petite porte d’entrée, donnant directement sur la cuisine, s’engouffrait la vague chaude d’odeur de foin, de poules et de terre cuite, qui se mêlait en un instant, à nos sueurs animales.
J’étais paisiblement accroché au sein de ma maman quand la Renault Dauphine paternelle déboula dans le vaste espace, devant la maison. Le cri du gravier surchauffé me fit sursauter. Mami ouvrit rapidement, laissant passer l’homme et son béret landais encore trempé par le déluge de fin de match. Mon père était aussi rougeaud que sa voiture lie-de-vin laissée sous l’olivier.
La Vierge en majesté symbolise l’union sacrée des natures humaine et divine. Marie est souveraine, la Femme ayant donné naissance à l’Enfant Dieu représenté presque adulte. Il contemple le bois lisse de la Vierge comme une caresse profondément triste, sourit à la générosité de son visage, grand front, nez oriental, yeux en amande.
Englouti dans l’utérus, / Il perçoit l’humanité, joyeux chorus. / Royaume de tous les sons, le ventre est corpus, / Cris… Chants, glissandos plaintifs et gémissants sanctus / clament et résonnent, incarnent l’angélus.
Mon doudou - et il serait l’unique - avait été confectionné par l’épouse d’un supporter. J’adorai immédiatement l’allure de cette vache landaise, noire aux yeux étonnés, égayée de touches jaunes, le cercle sur le ventre, le bout des pattes et surtout chacune de ses petites cornes, que je mis en bouche.
Le bijou représentait, avec grande précision, un violon. L’orfèvre l’avait façonné dans les moindres détails, jusqu’à l’archet soudé sur le dos de l’instrument. Sous les quatre cordes de fil d’argent, le manche était orné de minuscules saphirs formant un long rectangle aussi bleu que les yeux d’un siamois.
Ces prodiges du violon en leur prime jeunesse, / Alma et Tanja échangent le subtil génie de Bach, merveille et finesse. / Juste dosage de volonté et passion, elles étaient promesses ; aujourd’hui en intime vibration, on oublie leur tendresse. / Largo ma non tanto, doux frissons ; elles sèment les prémices avec tant de largesse, que nous en sommes apprentis, jusque dans l’achèvement sublime, en liesse.
La statuette en ivoire de mammouth, de moins de quinze centimètres, fait partie d’une famille de presque 250 Vénus paléolithiques réparties dans toute l’Europe. […] Il ne perçoit l’objet qu’à travers sa géométrie. Les rondeurs de la Vénus se conjuguent pour former plusieurs losanges convergeant vers un triangle fécond, symbole de la fertilité intime et non culpabilisée de la femme. La stylisation lui évoque l’infini : les anciens n’auraient pas pu concevoir leurs déesses sous des formes précises
Douce et émouvante, Wonhee apparaît, note en devenir, / Du silence, jaillit la paix. Une voix originelle, intuitive, chante l’avenir. / Son instrument vibre avec la harpe, jusqu’à la soutenir ; [extrême beauté, confidence, la musique est un sourire. / Andante sostenuto, un violon se suffit à lui seul, comme un désir ; mais il requiert l’harmonie, implore l’orchestre dans sa soif et son plaisir.
La statue de Ishtar avait été trouvée à Uruk, une ville de l’ancienne Mésopotamie. Amalgamée à la déesse Inanna de l’amour charnel, sa symbolique était riche et complexe. […] La Grande Déesse Ishtar, libre de toute tutelle masculine, est aujourd’hui le seul lien entre lui, un mâle brisé, et les forces invisibles. Entre son âme endeuillée et l’espoir d’une vie ailleurs, d’une vie après. Ô Ishtar / Libre hasard / Pétale de nénuphar / L’Amour solaire est ton art
Fabuleuse invention mélodique d’Amadeus Mozart, perle viennoise. / Homme. Noble, imposant, à la sonorité unique ; Eugène Ysaÿe, l’âme liégeoise. / La mort étreint le violon, ses notes et ses phrases ; jeune femme. Vertige, sentiment d’infini, divine extase. / La musique est un espace intérieur essentiel, un doux ravissement, qui vous embrase ; elle voyage, traduction sonore du vide, du pays du silence, sans angoisse, sans emphase.
La deuxième candidate, Myriam Fried, jouait sur un Stradivarius de 1718. […] « … Premier prix, d’Israël, Myriam Fried ! » Juive d’origine roumaine, deux peuples intimement attachés aux vibrations du violon, Myriam Fried était, à vingt-cinq ans, la première femme à avoir remporté le Concours. Dans notre société patriarcale, la femme artiste fut longtemps bannie. Je regardai la lauréate s’avancer humblement pour nous saluer, imaginant ma Beatrix sur cette même scène et ma fierté d’être son élu.
Le soir venu, je m’installai à l’arrière de notre magnifique Peugeot 404 bleu ciel et nous nous rendîmes au Centre Hospitalier Universitaire de Toulouse.
Tous les samedis, Maria Noella m’apparaissait, lissant ses longs cheveux foncés sur un visage d’ange. Et son petit sourire hautain me faisait fondre. Lorsque je rédigeais quelques vers sentimentaux, je me plongeais invariablement dans le souvenir des yeux de Maria Noella, du nez retroussé de Maria Noella, des lèvres très rouges de Maria Noella. Elle m’était sublime et inaccessible.
David Oïstrakh. Violon et archet prolongent le corps. / Sueur âcre, plainte déchirante, la main se crispe, le bras se tord. / Juif, slave, le violoniste traîne la mélancolie, implore. Sa musique est nomade ; son âme, russe et profonde, évapore. / Fiévreuse, la grande Russie déroule l’hiver, l’étire, immacule ses dehors, conjugue ses désirs vagues et puissants à la noblesse du passé. Frisson d’accords
Au camp, la saison se terminait et les chevaux mongols ne quittaient plus l’enclos. Au contact d’un jeune gamin, j’appris à les soigner. Ils étaient petits, presque de la taille de poneys, et d’une incroyable résistance. Coup d’archet, ruade, / Martèle et ricoche, staccato nomade. / Dans la steppe mongole, rude embuscade, écoutez ! Glorieuses cavalcades. / Gengis Khan rassemble et conquiert en cascade ; Fondation de l’empire, symphonique galopade.
Le dimanche, je me rendais au temple de Dashgimpeliin pour prier mon dieu, chasser mes démons et converser avec le maître bouddhiste du lieu. En réalité, il ne connaissait aucun mot d’anglais, mais, par de simples gestes, il m’invitait à partager son thé au lait, sel et farine. Nous nous installions à l’ombre d’une toiture-pagode en bois vert et échangions nos sourires. De semaine en semaine, il me révéla à moi-même, tandis que je lui représentais les couleurs de mon âme occidentale.
Marija Gimbutas, était la spécialiste de l’âge de bronze entre l’Oural et les Balkans. Sur le terrain, elle avait pris plus de douze mille clichés, révélant au monde scientifique l’existence d’une culture préhistorique ayant perduré plus de 25 000 ans. Tentant de prouver que la religiosité néolithique était dédiée aux femmes, d’autre part que cette société était extrêmement pacifique et que les guerres n’avaient pas lieu, Marija fut pionnière, soutenant une certaine archéologie féminine.
Le 17 mars 1995, vers 22 heures, je dînai à l’aéroport de Toulouse-Blagnac. Le fameux Huitième Ciel dirigé par le chef étoilé Michel Sarran n’existait pas encore, mais le restaurant de l’époque offrait de la bonne cuisine et, une fois mon service de contrôleur aérien terminé, j’y mangeais souvent avant de reprendre la route.
La célèbre boîte de nuit organisait une soirée flamenco et, dans la seconde salle, Tonio et sa troupe offrirent un spectacle époustouflant avant de s’attabler, non loin de mon désarroi. J’en étais à mon ixième mauvaise sangria, les yeux plongés dans le divin profil de la danseuse du groupe, lorsqu’un décroisement de jambes éclaira mon regard. En une fraction de seconde, je passai du dénuement à l’appétence. À quoi tiennent les états d’âme d’un garçon ! Je rougis, pris d’une furieuse envie.
Il l’a reçu d’Alamine Khoulen, la célèbre joueuse d’imzad. Fabriqué d’une demi-calebasse recouverte d’une peau de caprin et traversée d’un bâton d’acacia, l’imzad ne comporte qu’une corde en crin de cheval, que seules les femmes peuvent caresser. À l’aide d’un arc artisanal. La peau de l’animal vibre encore, / Le son s’amplifie dans le bois mort, / Comme si du néant, / Elles créaient le vivant.
Biyat partie se reposer, je restai tout l’après-midi auprès d’Alamine, l’observant dans l’art de fabriquer ses imzads sans voix, pour les quelques milliers de touristes annuels. […] À l’aide du crin de cheval accroché à deux de ses orteils, Alamine confectionnait une tresse impeccable. « Même s’il n’y a qu’une seule corde, garde confiance. As-tu plus d’un coeur pour aimer ? murmura-t-elle. »
Observe l’imzad, Instrument épuré, nomade. Entends son chant, touarègue aubade, Héritage sublime des hommes bleus, immortelle peuplade
J’étais seul dans la caverne juste troublée par le souffle du vent. Antinéa était là, gravée dans la pierre, le sein dressé et la main gauche apposée sur mon destin. Je chancelai, m’assis sur la roche fraîche. Le dessin, vieux de plus de quatre mille ans, me semblait destiné. Mes yeux chavirèrent, ma voix devenue rauque formula quelques gémissements. Je tremblais, emporté par une douceur aussi profonde que la mort.
Claudine André était Belge née à Kamina. Elle avait 62 ans. J’étais Xavier Pépillou, Français de 44 ans, né à Moncrabeau. Nous devînmes en peu de temps les meilleurs amis du monde. […] Elle me tendit une photo d’elle prise à Lola ya Bonobo et au dos, griffonna ses coordonnées.
Les habitants des Cyclades l’avaient pressenti, la femme est un instrument de musique, proche de la volupté et des corps à corps. Ô déesse violon, / Dans ma quête, un maillon. / L’archet frôle tes occultes vallons, / Symphonies du plaisir, adoration, intimes tourbillons
Après avoir dormi un peu, nous découvrîmes une taverne où il suffisait de choisir un poisson en cuisine et d’attendre sa cuisson en compagnie du bon vin de Naxos et de quelques calamars grillés. Nous passâmes les quelques jours qui nous restaient à randonner dans la montagne. Véritable verger sauvage, l’arrière-pays nous régala de figues, grenades et raisins blancs sucrés.
Le lendemain, après six heures de bateau, nous débarquâmes à Chora, la capitale de l’île autrefois prospère pour son marbre et son émeri. Les chats sauvages se pourléchaient sur le port, et le quai encore chaud du soleil d’arrière-saison exhumait un fumet âcre et sucré provenant des restes de poissons qu’ils avaient dévorés.
Salons du livre 2016 - 2017 - 2018
Pont-à-Celles
Tournai
Uccle (Bruxelles)
Mons
à Uccle
Festival BD et livres à Pont-à-Celles
Mon's Livre 2017
ELLEs se LIVREnt 2018
TAO, illustration des chapitres
Pierre Brueghel l'ancien - 1565
« L’œuvre illustre une tradition populaire flamande, celle d’un Pays palissé de saucisses, paradis de la gourmandise où l’on trouve tout en abondance et sans effort. Dans le lit des rivières, coule la limonade et les montagnes sont en riz au lait. Repus jusqu’à l’écœurement, les notables comme les paysans sont vautrés et rêvassent. Leur vanité presque grotesque provoque en nous un étrange malaise. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au premier chapitre.
« Vue panoramique sur un paysage grandiose. Au pied du gibet central, asymétrique et presqu’illogique, des paysans dansent et un autre défèque, faisant fi de la menace catholique espagnole : depuis 1567, le Conseil des troubles réserve la mort par pendaison aux prédicants calvinistes. Noire et blanche, la pie observe cette dualité, le danger d’une autosatisfaction insouciante. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au deuxième chapitre.
« Vaste paysage peuplé de plus de cinq cent figurants qui cheminent avec Jésus vers Golgotha. Les détails sont minuscules et beaucoup évoquent, à l’instar du Christ, le supplice que subissaient les hérétiques de la réforme protestante. Chaque personnage porte sa croix et semble seul, suivant son propre chemin vers l’acceptation de ce qu’il est : un simple être humain. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au troisième chapitre.
« Vent de fraîcheur sur les enfants qui s’égaient de plus de nonante jeux différents. L’œuvre, ludique, est un éclat de vitalité parsemé de joie et d’humour chatoyant, où l’espace est parfaitement occupé et les couleurs militent pour une vision imaginative du monde. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au quatrième chapitre.
« Les anges déchus, comme tous les êtres un peu rebelles, sont chassés du paradis par saint Michel à la tête d’une armée d’anges purs. Moult détails insolites à la Jérôme Bosch invitent à observer, avec effroi ou délectation, cette inéluctable conspiration de la vie. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au cinquième chapitre.
«Par l’intermédiaire du Duc d’Albe, gouverneur des Pays-Bas espagnols, Charles Quint avait prohibé en 1568 tout rassemblement festif, trop propice aux prédicateurs hérétiques. Face à l’interdiction, ce chef-d’œuvre invite à la noce par ses couleurs chatoyantes, la communion des convives et la vitalité des perspectives. » La Trappe aux Oiseaux, introduction au sixième chapitre.
Après la transhumance estivale, la marche du troupeau dans un paysage montagneux fait partie d’une série de six tableaux représentant les périodes de l’année. Figurant les mois d’octobre et de novembre, le cortège des vaches évoque la force pesante du retour à une vie domestique, plus calme et assagie. Les teintes froides et bleutées du ciel s’associent aux tonalités ocreuses de l’automne. L’atmosphère annonce les rigueurs de l’hiver. La Trappe aux Oiseaux, introduction au septième chapitre
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TAO, Raeren et le négatif photo
Il m'a donné l'idée de ce roman.
TAO, de l'écriture au livre
31 juillet 2015
27 juillet 2015
Envoyée par Maud M. le 21 septembre 2015.
21 novembre 2015 à Mon's Livre
Nathalie Marcon (Editions Poussière de Lune) et Olivier Papleux (auteur)
Premières dédicaces
Stand de Poussière de Lune avec Eric Christmas et notre éditrice Nathalie Marcon.
Les 100 premiers acquéreurs ont été récompensés par une carte collector, numérotée de 1/100 à 100/100.
Carte postale timbrée à l'effigie du roman avec une poésie personnalisée dédiée à chaque acquéreur.
TAO, l'aventure de l'édition
14 septembre 2015 - Interview de l'éditrice Poussière de Lune.
14 septembre 2015 - Interview des auteurs de Poussière de Lune.
14 septembre 2015 - Poussière de Lune au milieu de ses quatre premiers auteurs.
Les éditions Poussière de Lune ont décidé de verser un pourcentage de leurs bénéfices à l'association SOS-ENFANTS
Sortie officielle de la Trappe aux Oiseaux
Stand de Poussière de Lune
Superbe bannière de Poussière de Lune
Les auteurs de Poussière de Lune
Premier roman vendu
SOS enfants associé aux Editions Poussière de Lune
25 novembre 2015
25 novembre 2015
28 novembre 2015
Novembre 2015
Stand de Poussière de Lune
Avec l'organisateur Bou Bounoider
Sortie officielle de La Trappe aux Oiseaux à Braine-l'Alleud, avec Nathalie Marcon (éditions Poussière de Lune).
15 mars 2016
Relation auteur-éditeur ou la formidable aventure de l'édition.
Les Editions Poussière de Lune au Peter House.
Avec le roumain Arny Iancu
Avec Isabelle Bary
L'équipe de Poussière de Lune
Sortie émouvante du récit "Le miraculé de la N7".
Foire du Livre Belge 2017
PdL avec Délicia Pioggia
Foyer culturel d'Uccle 2017
Photo de Jean Jacques Procureur
LVZ et 2AS
Discution avec feue mademoiselle Renée Van Coppenolle: un être de grand coeur que jamais je n'oublierai.
Séance de dédicaces
Séance de décicaces
...et du droit d'auteur - 23 avril 2015
Editions Dricot
Editions Dricot
Avec maman